La semaine dernière, la Commission Européenne a annoncé que la période de 3 mois de réflexion en rapport à la proposition de la Grande-Bretagne sur l'imposition des licences secondaires d'opérateurs et les taxes des sociétés de jeux en ligne off-shore a été rallongée d'1 mois, suite à une plainte provenant de la Commission des Jeux de Malte.
Une opposition de la part de la Commission Maltaise
De nombreuses entreprises de jeux en ligne ont établi leur siège dans le petit état européen de Malte, principalement dû aux conditions de taxation avantageuses et au fait de posséder une licence de jeu européenne.
Pendant cette période, le gouvernement britannique va devoir répondre aux plaintes de Malte, ce qui signifie que cette nouvelle réglementation du Royaume-Uni risque de ne pas voir le jour avant 6 mois.
Par ailleurs Malte ne semble pas être le seul à s'opposer au projet britannique. En effet la juridiction de Gibraltar, qui attribue également de nombreuses licences de jeu, pourrait également voir d'un mauvais œil cette concurrence jugée « déloyale ». Enfin plusieurs gros groupes britannique aurait également l'intention de s'opposer à ce projet.
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