Un Bad Beat Jackpot à 1,2$ million a été remporté par l'ensemble des joueurs de la salle de poker du Playground Poker Club de Montréal il y a quelques jours, lorsqu'un joueur a perdu une main avec un carré de valet. Comme pour tout bad beat jackpot, le perdant de la main a empoché la majorité du pactole.
Perdre et empocher le pactole
Alors qu'il croyait être l'homme le plus malchanceux du monde pendant quelques instants, sa main perdante a déclenché le bad beat jackpot du casino. En ayant perdu avec une main aussi forte que carré de valet, Elphege Delarosbil empoche la plus grosse part du jackpot, soit 460,149$.
Delarosbil jouait en cash-game aux blinds 1/2$, ce qui correspond aux limites les plus basses. Il a perdu son tapis face à Shane Galle qui a eu la chance de toucher une quinte flush à la river (pour rappel, la quinte flush bat un carré). Galle a empoché 230,088$ pour cette main miracle et tous les joueurs à la table un gros chèque de 32,870$. Rien de tel que d'avoir un bon timing dans la vie...
Dans certaines salles de poker et casino, un bad beat jackpot est présent pour récompenser un joueur qui a perdu avec une main improbable. Les règles sont différentes selon les établissements mais la bonne nouvelle au Playground Casino, c'est que tous les joueurs présents dans la salle se partagent un joli billet pour avoir eu la chance d'être présent au bon endroit au bon moment. Chacun d'entre eux a pu encaisser 1,224$ de la part du casino. Le plus souvent, seuls les joueurs présents à la table du clash gagnent quelque chose mais le Playground Poker Club privilégie la communauté entière.
Ce bad beat jackpot est l'un des plus importants jamais remportés. Il bat largement les 600,000$ et 766,951$ dont nous avions parlé par le passé. Qui plus est, il l'a été sur une table basse limite. La plupart des joueurs présents n'étaient ni professionnels ni particulièrement fortunés, ce qui signifie que ce jackpot représente beaucoup d'argent pour eux. Voilà qui devrait ramener encore plus de monde au Playground Poker Club ! C'est ça le rêve américain canadien !
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